Dans la presse

Prendre la Parole en Public

«100% de réussite à l’examen oral d’une classe de BTS dionysienne. C’est le résultat que Sham’s a obtenu avec ses stages de prise de parole en public, qui reprennent à la rentrée. Ses élèves sont étudiants, chefs d’entreprise ou…hommes politiques.»
«Petit à petit, les élèves prennent de l’assurance, arrivent même à disserter sur la culture du géranium sur Mars, le langage des feuilles de bananier ou bien sur l’art d’être «prof de rien».«Un bon orateur peut vous intéresser sur n’importe quel sujet», commente Sham’s. A la fin de la séance, ce qui était pour certains un calvaire est devenu un vrai bonheur. Et on ne peut plus les arrêter. Les enseignants devenus élèves pour une matinée sont unanimes.»
«Il y a en Sham’s un excellent pédagogue. Un pédagogue dont la méthode se révèle efficace : la classe de BTS Assistant de Gestion du lycée de Bellepierre, après avoir suivi ses cours tout au long de l’année, a obtenu 100% de réussite à son examen final.»

Le Journal de l’Ile (Lise Martin – 29/08/2003)

 

«Les étudiants de deuxième année de BTS Assistance Gestion PME-PMI de l’AGEPAC, assistent à un cours pour le moins particulier. Aujourd’hui pas de marketing mais une leçon de «prise de la parole en public». Un à un ils entrent dans le centre de Sham’s. L’objectif: passer leur examen oral dans les meilleures conditions. La méthode a déjà fait ses preuves. La promotion précédente a obtenu un taux de 100% de réussite.»

Le Journal de l’Ile (Gabrielle Boyer – 12/09/2006)

 

«Exercice de style et de stratégie, le débat de mercredi soir entre Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy a tenu toutes ses promesses. Alors que chaque camp revendique aujourd’hui avoir «gagné» le débat, Sham’s, spécialiste de l’art oratoire, revient sur ce qui fut selon lui «un véritable match» et «un régal de deux heures quarante cinq minutes». Sham’s, comment les deux candidats ont-ils abordé ce débat ? «L’enjeu était beaucoup plus le comportement que le contenu. La stratégie de Sarkozy consistait à donner une image de chef d’Etat calme, posé, et de ne pas tomber dans la brutalité que certains lui reprochaient. Il n’avait pas intérêt à débarquer avec ses bottes de grand orateur, surtout devant une femme. A l’opposé, Royal avait à cœur de montrer qu’elle n’est pas si ronronnante, monotone, qu’elle avait une vraie personnalité et une capacité de résistance. Elle se retenait beaucoup pendant les débats précédents, alors qu’elle en impose en Poitou-Charentes. Nous avons assisté à une inversion comportementale. Royal s’est lâchée et c’est Sarkozy qui s’est retenu.»» [Pour la suite de l’article voir l’onglet «Analyse de grands débats » sur ce même site]

Le Journal de l’Ile (Sylvain Amiotte – 04/05/2007)

 

 

«Spécialiste de l’art oratoire, Sham’s, par ailleurs ancien directeur du service culturel de la mairie de Saint-Denis, décrypte pour nous le grand débat de mercredi soir entre Nicolas Sarkozy et François Hollande. «L’enjeu de ce grand débat n’était pas ce que les deux candidats allaient dire sur leur programme mais ce qu’ils allaient montrer en termes de personnalité, de solidité…Cet enjeu portait plus sur la forme que sur le fond. Comme pour un examen, l’oral vient en plus de l’écrit pour déterminer la force, la solidité, la légitimité et la crédibilité du candidat. Au final, le public cherche avant tout à savoir qui a gagné.»» [Pour la suite de l’article voir l’onglet «Analyse de grands débats» sur ce même site]

Le Quotidien (Michel Zitte – 04/05/2012)

 

 

«Pour Sham’s qui tient une école, la maîtrise de l’art de la parole est vital pour un élu. Un grand nombre n’hésite d’ailleurs pas à l’appeler pour lui demander quelques conseils. «Chez lui, plus que tout autre, il y a au centre même de sa mission, l’art de l’orateur. C’est-à-dire, arriver à convaincre, à drainer les foules. […] Vous savez, il y en a beaucoup qui ne maîtrisent pas vraiment la parole. A la différence des pays anglo-saxons, en France, on n’a pas conscience de l’importance de cet art. C’est une pratique encore récente, d’où de nombreux apprentis sorciers qui enseignent n’importe quoi.»»
«J’aborde exclusivement l’art et la manière. Les idées et les solutions ne manquent pas aux politiques. Ils ont tous une kyrielle de conseillers autour d’eux. Ce qui leur manque, c’est le souffle de l’orateur. On croit que c’est le contenu qui fait tout, mais non! Un grand homme, s’il n’a pas cet art travaillé au plus haut, aura des déficits. Par contre on peut s’améliorer, ce n’est pas inné, même si certains ont plus ou moins de facilités.»

Le JIR du Dimanche (10/10/2004)

 

«Son centre fait le plein. Il réussit même à y faire venir des chefs d’entreprise et des hommes politiques pour leur apprendre à parler en public…»
«En effet un cadre, un dirigeant d’entreprise, un responsable de collectivité, un enseignant, un homme politique ou un attaché commercial peuvent en tirer le plus grand bien. Et d’autant plus qu’on ne brille pas vraiment en France dans le genre oratoire. Il suffit pour s’en convaincre de regarder les hommes politiques s’exprimer à la télévision ou encore d’assister à quelques séminaires où l’orateur de service vous livre un discours qui aurait plutôt tendance à endormir son auditoire.»
«La prise de parole en public est un handicap pour la plupart des Français, dévorés par le trac dès qu’ils doivent s’exprimer devant une assistance plus ou moins nombreuse. Un handicap qui peut avoir des conséquences professionnelles.»

Eco Austral (1996)
Le Quotidien (Kévin Bulard – 24/10/2004)

Travailler sa Voix

«Ne pas savoir placer sa voix, cela peut conduire à une extinction» déclare Sham’s qui s’étonne qu’on n’apprenne pas aux enseignants, pendant leur formation, à parler en public alors que cela fait partie de leur métier.» Eco Austral (1996)

«Ah non!» C’est presqueun coup de tonnerre, qui résonne et porte loin, fracassant portes et murs du Sham’s Théâtre. Non, pas d’esclandre, pas d’assassinat, pas de colère noire, c’est simplement Sham’s dans ses œuvres, qui démontre que la voix se travaille, et que sans la forcer, on peut lui donner l’éclat du canon. […] «Il faut que l’acteur fasse porter sa voix, sans crier pour autant…Dans ces cas là, c’est la technique qui nous sauve, et je peux vous assurer qu’aucun de nos acteurs n’est devenu aphone pour avoir forcé sa voix».»

«Cette technique, Sham’s l’a apprise, et désormais l’enseigne. Pas qu’aux acteurs d’ailleurs, puisque ses cours de prise de parole en public sont ouverts à tous, et rassemblent des enseignants, des professionnels de la parole, des conférenciers, et même un certain recteur qui a depuis quitté l’Académie. «L’orateur est d’abord une voix. Et une voix est d’abord un muscle, ça se travaille. Or, il y a peu de formations dans notre société. Tous ces professionnels qui n’ont pas appris ces techniques finissent par s’abîmer la voix à force de crier, de hurler, de forcer en avançant le menton. Après des années ils doivent parfois être opérés de nodules» déplore Sham’s.»
«Mais la voix est plus qu’un son, souligne Sham’s:«La voix, c’est ce qui caractérise une présence. Il ne suffit pas qu’elle s’entende, il faut aussi qu’elle enveloppe l’assemblée. C’est pour cela que je parle de présence vocale». […] Au sujet de la voix, la parole de Sham’s ne tarit pas. Mais il y a une chose qu’il ne faut pas lui dire, c’est «moi, je n’ai pas de voix». «Tout le monde a une voix», martèle-t-il. Il suffit de la découvrir, de la développer et de la faire vivre.»

Le Quotidien (Kévin Bulard – 24/10/2004)